N'attendez pas que votre santé vous la demande !
Le titre de cet article peut paraître provocateur pour certains du fait que la géobiologie, scientifiquement, n’a aucune reconnaissance.
Mais en fait, que demande la science ? Simplement que tout phénomène soit mesurable, quantifiable et reproductible. Il est vrai que, nul appareil de mesure utilisé en laboratoires ne peut, encore, quantifier les effets de la géobiologie. Cependant, tout être vivant, qu’il appartienne au règne végétal, animal ou humain peut, par un changement dans sa santé et son bien être, les ressentir.
Mon souhait, par ces propos, est de participer à la réhabilitation d’une 'science' multimillénaire ayant largement fait ses preuves.
Mais en fait, qu’est la géobiologie ?
Dans son étymologie, le terme géobiologie est constitué de:
géo = terre, bio = vie, logos = science
soit la science de l’influence de la terre sur la vie.
Apparentée à l’art du sourcier, son champ d’application est cependant bien plus vaste que la simple recherche d’eau souterraine.
En effet, depuis son origine, le géomancier, (celui qui lisait la terre), appellation
ancienne du géobiologue, avait pour tâche de déterminer la viabilité d’un terrain
devant servir à l’édification tant d’une cité que d’une habitation privée. Au-
Dans l’antiquité,les chroniques romaines nous rapportent que, préalablement à l’édification d’une nouvelle cité, sur le terrain choisi, était mis en pâture un troupeau de moutons. Passé une année, le facteur temps (chronos) n’entrait que peu dans la démarche des bâtisseurs car on construisait pour mille ans, ces animaux étaient abattus et l’état de leurs organes internes infirmait ou confirmait la viabilité du lieu. De ces observations la construction se faisait ou pas.
Bon nombre de recherches sérieuses ont permis de mettre en évidence la relation entre les zones géopathogènes et le développement de cancers (Baron Von Pohl, Lienert ingénieur,Dr Jenny etc.).
Mes propres observations, basées sur près d’un millier d’analyses géobiologique effectuées au cours de ces dix dernières années, font ressortir les pathologies suivantes, issues d’un milieu perturbé : problèmes du système nerveux (état de fatigue chronique, irritabilité, stress permanent, troubles du sommeil), bronchites chroniques, pneumonies, problèmes urinaires (cystite, prostate, énurésie), de digestion, problèmes cardiaques, problèmes de peau, pour ne parler que des moins conséquentes. J’ai également constaté que la sensibilité est plus spontanée chez les nourrissons et petits enfants.
Cette recherche optimale de la viabilité d’un lieu a perduré jusqu’au XV ème siècle. Elle s’est endormie lentement sous la pression du rationalisme, l’homme ayant quitté l’âge du ressenti pour entrer dans celui du raisonnement.
Rejetée au XIX ème et XXème siècle en raison de critères économiques et spéculatifs, reniée par la science cartésienne, la géobiologie est devenue marginale et seuls quelques « illuminés » la défendaient encore.
C’est vers 1930 qu’un professeur, Georges Lakhovski, entreprit de démontrer que certains rayonnements ou émanations issus de la Terre étaient responsables ou pour le moins favorisaient le développement de maladies graves.
(La Terre et Nous, Georges Lakovsky, Fasquelle éditeur, 1933.)
Nombreux autres chercheurs tels que les docteurs et professeurs Peyré, Hartmann,
Roccard, J.Piccard etc. confirmèrent, au fil des années, les rapports entre les phénomènes
de sous-
Les recherches en laboratoires, pratiquées sur des rats et des souris ont confirmé les assertions de ces éminents chercheurs.
Alors, pourquoi cette non reconnaissance de la part de la science ?
L’explication est dans les instruments utilisés. Si, en laboratoires, les instruments de test et de mesurage ont une terminaison en « …ètre », (thermomètres oscillomètres, scintillomètres etc.) dans la pratique du terrain, s’utilisent des instruments faisant appel à la sensitivité de celui qui détecte (baguettes, lobe antenne pendule etc.). Tout l’art du sourcier, et par découlement du géobiologue, demeure dans sa sensibilité et non dans sa technologie.
Pour la petite histoire, certaines compagnies, et non des moindres, utilisent des sourciers pour la recherche de champs pétrolifères et ceci avec succès.
La géobiologie, quelles applications ?
Au XXIème siècle, comme dans l’antiquité, nous nous trouvons toujours confrontés aux mêmes énergies naturelles et aux mêmes conséquences avec, cependant deux éléments supplémentaires d’importance. Le premier, est que l’on construit désormais sur des terrains impropres à la vie et à l’épanouissement de l’individu, car seul les critères économiques sont pris en compte.
Le second résulte de la découverte de l’électricité et des technologies qui y sont liées.
En conséquence, le rôle du géobiologue d’aujourd’hui consiste, la plupart du temps, à trouver des solutions permettant de rendre acceptable des espaces habités dont la viabilité est compromise.
Regardons plus en détails ces différentes énergies qui ne nous veulent aucun bien.
Circulations d’eau souterraines, failles dans l’écorce terrestre, cheminées et réseaux
telluriques, quand bien même naturels, ont des effets perturbants sur le vivant (végétal,
animal et humain). Qui n’a jamais observé, dans la nature et plus particulièrement
dans les vergers, des arbres tordus, vissés ou chancrés, aspects visibles des souffrances
de ceux-
Si ces effets sont valables dans les règnes du végétal et de l’animal, comment l’humain pourrait prétendre y échapper ?
Arbres souffrant d'un emplacement
situé sur un croisement géopathique
Baguettes de
détection
Antennes sur le toit d'un immeuble locatif
Lignes à haute tension passant au-
La santé des moutons indiquait la qualité d'un terrain aux Romains